Arrivée de Amy

Six heures Quarante cinq.

le réveille sonna plus tôt que d'habitude, normal, Aujourd'hui n'était pas un jour comme d'habitude... Aujourd'hui je devais partir, laisser cette villa a de richissimes personnes, et je devais prendre ma place dans une petite ville. Je me lève les pieds engourdis, et Mousse qui me tourne autour. Encore dans le brouillard, je donne à manger a mon chaton et me prépare des tartine de pain/nutella avec un bol de café. Ah, une belle matinée! Je mis tout ce qui constitué mon P'tit-Dej' dans un plateau et je m'installais sur la terrasse, bien qu'il ne soit que six heures dix, le soleil donner déjà et, en se mois de juillet, il faisait monter le thermomètre jusqu'à 25°C. Je mis bien une demi heure pour finir mon repas, et une fois finit je fit la vaisselle à la main pour avoir le temps de tout remettre dans un carton qui partait direction le camion de déménagement.
Mousse était déjà montée dans ma chambre, je la suivit et la vie en train de dormir sur mon Dessus-de-lit couleur Prune. Je m'assit a cotée d'elle et la caressa pendant cinq bonne minute. Me rendant compte de qu'elle heure il était, je me dépêchais de m'habiller, j'attrapais un Jean's, une tunique noir a petites bretelles et de mes sous-vêtements. Je me précipitais dans la salle de bain, je posais mes affaires sur une commode et prit ma brosse à dents. Une fois mes dents propre , je m'habillais et attachais mes cheveux en une queue de cheval. je n'avais ni parfum, ni bijoux: Tout était dans un des cartons entreposer en bas, et a vrai dire je n'avais pas le temps d'aller cherchée. je retournais dans ma chambre pour défaire mes draps et les quelques affaires qui rester dans ma chambre. il ne restais rien a part un lit. l'endroit vide m'effraya, c'était ici que j'avais grandit, c'était tellement difficile de partir...
Je prit Mousse dans mes bras, prit la dernière valise et je descendit les escaliers. Un déménageurs était là, et trois autres hommes arrivèrent. Ils se disputèrent, l'un cria que l'autre était un brute avec les affaires marquer fragile, l'autre lui rétorqua que c'était une mauviette qui avait peur de ce casser un ongle en prenant quelques chose, et le troisième leur demanda d'arrêter leur gamineries. A vrai dire je n'y porter aucune attention particulière, j'était assise sur les marche en pierre, mon chat sur les genoux et je me voyer étant petite. Ce moment de nostalgie s'arrêta net quand un des homme, le plus poliment possible, m'annonça que tout avait était rentré dans le camion . Je me levais alors et mit Mousse dans sa boîte, en fait, elle n'aimer pas du tout donc ce ne fut pas vraiment une partit de plaisir enfin. Les déménageurs partirent vers Boston et moi je laisser les clef à des personnes inconnue.

Huit Heure Dix sept.

Je marchais depuis dix bonnes minutes vers le train et mes nouvelles ballerines me faisait horriblement mal aux pieds. Arriver enfin sur les quais je me poser une grave question, Qu'elle était le bon train? je regardais une fois de plus mon tiqué "Train A12" puis je regardais le tableau annonçant les trains: "A12 Retard 20 minutes" il ne manquait plus que ça... tant pis, je pris place sur une chaise et libérée Mousse de sa cage. Je l'a pris sur mes genoux pour ne pas qu'elle parte. Un vendeur de boisson fraîche me proposa un canette de Coca-Cola que j'acceptais, avec une chaleur pareille! Une voix annonça l'arriver de mon train, je remit Mousse dans sa cage et nous partîmes dans notre compartiments. Une fois de plus un moment de nostalgie me prit, et une fois de plus je m'arrêtais net dans mes penser, cette fois si c'était parce que le train annoncer sont arriver à Boston.
Je sortais et regardais la ville, tous me paressais si petit, si jolie... Mais je ne savais même pas où allée.

Invité

Lucie (ma soeur jumelle) et moi nous nous promenions en ville. Il était un peu plus de huit heure et nous avions décidé de découvrir un peu les environs. Maman nous avait laissées toute la semaine sortir quand on le voulait. D'après elle, si il ne nous arrivait rien et qu'on avait pas de problèmes, elle nous laisserait sortir quand on le voudrait pendant les vacances et les week-ends. De quoi faire envier tout le monde ! Donc on sortait presque tout les jours pour découvrir tout les recoins de la ville. Aujourd'hui, c'était la gare. Nous nous promenions, tranquillement tout en regardant autour de nous. Nous avions déjà repérer le lieu où nous déjeunerions, s'il n'y avait pas trop de monde, un petit restaurant italien assez sympa appelé "La Calabria". C'était un peu tôt, certes, mais au moins, tout était prévu.
La gare était belle. D'un style assez ancien d'après moi. Elle était faîte de briques rouges-orangées pas flashy du tout. Elle restait une gare, avec sa grande et magnifique horloge au beau milieu de sa façade. De l'extérieur, elle paraissait très ancienne. Pourtant, de l'intérieur, elle avait sûrement était rénovée. Un sol en carrelage blanc, et les murs couverts de papier peint blanc lui aussi.
Une fois la visite de l'intérieur finie, nous ressortîmes de la gare, juste pour voir s'il y avez des nouveaux futurs habitants de BIL. Personne apparement... Tout à coup, je vis une jeune femme, je pense un peu plus vieille que moi de 2 ou 3 ans, qui attendait. Elle avait l'air un peu déboussolée...

Moi: Eh, Lucie ! T'as vu ! On dirait qu'elle est nouvelle !
Lucie: Ouais... Viens on va lui parler !

Je ne voulais pas aller coir la jeune femme, mais Lucie m'entraîna alors jusqu'à elle. Nous nous approchâmes, puis, testant une approche pas trop indisrète, je me rapprochai d'elle et engageai la conversation.

Moi: Heu... Bonjour ! Vous... Vous êtes nouvelle ici ? Ou vous êtes juste de passage ?

Je pense que le vouvoiement était la meilleure approche quand on ne connaît pas la personne à qui on parle. Pourtant, je pensais avoir commis une faute. Une peur m'envahi. Et si c'était une pédophile ? Non, elle est trop jeune. Et si elle pensait que j'étais mal élevée ? En fait, pour vous, cette peur est peut-être une peur pour rien. Pourtant, je voulut me rattraper.

Moi *Espérons qu'elle ne serat pas en colère...*: Oh, heu... Excusez-moi. Si c'est trop indiscret ce que je vous demande, ne me répondez pas.

Sujet: Re: Arrivée de Amy Mar 1 Sep 2009 - 18:30

Je devais absolument trouvé l'agence immobilière pour avoir mes clés, tout était régler et je devais me présenter à neuf heures quarante cinq. Je pris alors un plan dans un petit kiosque et entreprit de le feuilleter quand deux jeunes filles vinrent m'interpeller. L'une d'entre elle me parla avec un léger bégaiement, puis elle se rattrapa, en fait, je crois qu'elle était un peu timide, ce qui me paru bête, car c'est elle qui était venue vers moi. Enfin, comme le geste qu'elles venaient de faire me fit plaisir je ne fus guère désagréable avec ses jeunes filles et leur répondit en tout bien tout honneur.

-Bonjour, Je suis effectivement nouvelle ici. Ce n'est pas une indiscrétion, enfin pas pour moi ne vous inquiéter pas. Enfin, quand quelqu'un me Vouvoie j'ai l'impression d'avoir 40 ans... Je pense que "Tu" ne sera pas d'une extrême impolitesse.

Sur ses paroles je souris et je regarder les deux jeunes interlocutrice. Elle devait avoir environ Quinze ans, peut-être Seize. D'ailleurs en remarquant ceci, je m'aperçut qu'aucune de nous trois ne s'était présenter. C'est alors que je le fit la première.

-Au Fait, Je m'appelle Amy Kals, j'ai 19 ans.

Je m'étais adosser au mur et j'avais mit la cage de Mousse par terre, d'ailleurs cette cage était mon seul bagage, toutes mes valises étaient parties avec les déménageur, qui d'ailleurs devaient me retrouvé à Dix heures a mon appartement . Ce qui me fit pensé qu'il ne me rester plus que quarante cinq minutes pour trouvé l'agence immobilière, je prit donc l'initiative de demander aux jeunes filles devant moi.

-Pourriez-vous Toutes les deux me mener jusqu'à l'agence immobilière? je doit y être dans Trente cinq minutes et je n'est aucune idée d'où elle peut bien ce trouver !

Je ne sentais plus mes pieds et la simple idée de devoir traversé la ville se faisait lourde, enfin, demain, quand tout sera installer, se ne sera qu'un petit passage de cette arrivée ici. Dès demain, je commencerais a placarder des affiches pour u Job, et après je verais bien ce que me réserve cette ville.
Tout à coup, la tête me tourna, j'avais d'afreux maux de ventre, et la nosée je ne savais plus où j'était, puis... plus rien, j'était par terre, je venais de tomber devant deux jeunes personnes dont je ne connaisser rien, dans un blad où je ne connaisser rien, j'était par terre inconciente...

Invité

La jeune fille me répondit en expliquant qu'elle était bien nouvelle en ville et qu'elle préférait qu'on la tutoie car quand on la vouvoyait, elle avait l'impression d'avoir quarante ans. Personnellement, je l'avais vouvoyée car je ne la connaissais pas et que je n'avais pas du tout envie de faire comme Claire, ma petite soeur qui tutoyait tout le monde, qu'elle connaisse la personne ou non.

Moi: D'accord, alors on va se tutoyer. C'était juste par mesure de politesse !

La jeune femme nous sourit. Puis elle se présenta à nous. Elle s'appelait Amy Kals et avait 19ans. Ce qui confirmait ma première impression d'elle qui était qu'elle devait être plus vielle de nous de 2 ou 3 ans.

Moi: Eh bien moi c'est Justine Mifato, j'ai 16 ans.
Lucie: Et moi c'est Lucie, je suis la soeur jumelle de Justine !

Je remarquais qu'à ses pieds il y avait une cage, qui ressemblais à celles que l'on utilisait pour transporter les animaux lors des voyages. Je remarquais aussi qu'elle n'avait aucune valise à côté d'elle ce qui était anormal vu qu'elle venait de nous dire qu'elle était nouvelle.
Puis elle se mit à nous parler en nous demandant si nous pouvions lui indiquer l'agence immobilière car elle devait y être dans trente-cinq minutes et elle ne savait pas où elle était. J'avais l'idée d'appeler maman pour qu'elle nous y emmène quand je vis Amy tomber à terre.

Moi: Bah... En fait je sais pas où elle est non plus mais je vais appeler ma mère elle pourrat peut-être nous ai... der... Amy ? Ca va ? Amy ! Lucie, qu'est-ce qu'elle a ?
Lucie: Bah j'en sais pas plus que toi, je te rappelle que je suis dans la même situation que toi !
Moi: Ouais, c'est vrai... Excuse-moi... Mais qu'est-ce qu'on fait ? On appelle Maman ? Les urgences ? L'hôpital ?

Pauvre Amy... Elle était à terre... Et aucun passant n'eut l'idée de venir nous aider ! Comme si c'était normal de voir une jeune fille couchée à terre avec deux autres toutes déboussolées... Je regardais Lucie, elle savait que dans ces cas là je m'énervais vite et je stressais beaucoup. J'attrapais mon portable, composait le numéro de portable de la maison. Sa sonnait...

Tuuuuuuuuuuuut...
Tuuuuuuuuuuuut...
Voix: Allo ?
Moi: Claire, c'est toi ?
Voix: Oui. Mais toi, t'es qui ?
Moi: C'est moi, c'est Justine ! Passe moi maman vite s'il te plaît !
Voix: Ok.

J'attendais quelques secondes quand la voix de maman résonna à l'intérieur du combiné.

Voix: Allo ?
Moi: Maman, c'est Justine !
Voix: Ah ma chérie ! Ca va ?
Moi: Non ça va pas ! Pitié aide moi !
Voix: Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
Moi: On était à la gare avec Lucie et on a rencontré une jeune fille qui s'appelle Amy et on discutait quand elle est tombée par terre et on sait pas ce qu'elle a !
Voix: Bon, écoute... Je suis pas médecin moi...
Moi: Oui bah je le sais bien !
Voix: Bon, alors j'arrive ! En attendant, appelle les urgences !

Une fois raccroché, je fis signe à Lucie d'appeler les urgences. Quelques minutes plus tard, elles étaient arrivées et on installait Amy sur un brancard.